Suite à la fortuite poursuite de la poétique avec fuites vers les espaces infinis de ce ciel près des frelons et des rayons solaires, Daniel Hélin vient tout seul avec des bouts de bois à ficelles et micros guitares chantonner et slamer à la Faune. Ça tombe bien, y a plus d’animaux dans son immense ventre à logorrhées tendres et crues, vibrato à la clé. Ouais, c’est trop chouette de faire vibrer ses vibrisses dans les oreilles et les cœurs des pangolins et humains! Ça va brailler joyeux en dense et doux. C’est dit!!

Dimanche côté jardin 18h

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